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    CREDO

    Reconstituer le CREDO en expliquant le mot que vous placé.

     

    Je crois en Dieu,

    le Père ………………………,

    Créateur du …………………………………..
    Et en Jésus Christ, son Fils …..…………., notre Seigneur ;

    qui a été ………....………... du Saint Esprit, est ….…...… de la Vierge Marie,

    a ……………….…. sous Ponce Pilate,

    a été ………….…….….,

    est ……..…. et a été ……….…………,

    est …………..….…… aux enfers ;

    le troisième jour est …..…………………… des morts, est ……….…..…… aux cieux,

    est assis à la ……….…….. de Dieu le Père tout-puissant, d'où il viendra ……….………. les vivants et les morts.
    Je …………. en l'Esprit Saint,

    à la …….……. Église ………………….,

    à la ………………….. des saints,

    à la …………….…… des péchés,

    à la résurrection de la ……..……..,

    à la …..………………….…..

    chacun a relut ce qu'il avait écrit sur son carnet de Foi avec la lumière du CREDO

    célébration ; remise de la lumière (cierge de leur profession de foi) autour du baptistère avec les parents.

      


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  • Jean Baptiste annonce l’Agneau de Dieu - Nous voulons te suivre sur le chemin de l’obéissance au Père. 

     

    La Parole de Dieu :

    Jean 1, 6-8 ; 15 ; 29

    06 Il y eut un homme envoyé par Dieu. Son nom était Jean. Il était venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui. Cet homme n'était pas la Lumière, mais il était là pour lui rendre témoignage.

     

    Jean Baptiste précède Jésus dans le temps des hommes, il est né quelque mois avant Jésus.

    Mais Jean Baptiste sait que Celui qu’il annonce est plus grand que lui. Mais Jésus est le Fils de Dieu celui qui existe depuis toujours. 

    29 Le lendemain, comme Jean Baptiste voyait Jésus venir vers lui, il dit : « Voici l'Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde »

     

    En présentant Jésus comme « l'Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde »

     

    Jean Baptiste renvoie ses auditeurs à l’Ecriture :

    - à la question d’Isaac « où est l’agneau pour le sacrifice ? »

    - à l’agneau pascal immolé la veille de la sortie d’Egypte.

     

    « Que l'on prenne un agneau par famille, un agneau par maison. Vous le garderez jusqu'au quatorzième jour du mois. Dans toute l'assemblée de la communauté d'Israël, on l’immolera au coucher du soleil….  On mangera sa chair cette nuit-là, on la mangera rôtie au feu, avec des pains sans levain et des herbes amères. [….]

    Vous mangerez en toute hâte : c'est la Pâque du Seigneur. »

    Pourquoi Dieu demande-t-il cela ?

    Cette demande de sacrifice laisse entrevoir le projet du Seigneur: en demandant au peuple d’immoler un agneau par famille et de le manger, Dieu donne la nourriture dont le peuple aura besoin pour vivre la sortie d’Egypte et entrer dans son Alliance.

    En demandant au peuple de marquer les linteaux de ses portes avec le sang de l’agneau « sans défaut », Dieu annonce ce qu’il va faire : il va épargner son peuple, le protéger du mal. La nuit qui précède la sortie d’Egypte et le « passage » de la mer, le Seigneur « passe » par-dessus les maisons du peuple et l’épargne de la mort, ce Passage s’appelle la Pâque.

    Cette Pâque, le Seigneur demande à son peuple de ne jamais l’oublier. salut.

     

    Jésus est le véritable Agneau de Dieu qui sauve et libère de l’esclavage du péché.

    Toute la vie du Christ, tout ce que Jésus a fait de son Incarnation jusqu’à sa Pâque, est révélation de ce mystère de salut.

     

    Le Verbe s’est fait chair pour :

    -          Nous sauver en nous réconciliant avec Dieu

    -          Que nous connaissions l’amour du Père

    -          Etre notre modèle de sainteté

    -          Nous rendre participant de la nature divine.

     

    Nous regardons Jésus, l’Agneau de Dieu, nous voulons le suivre et entrer dans une vie d’offrande, dans une relation d’amour avec Dieu. Nous lui demandons de guérir notre cœur, de le remplir d’humilité, de douceur, de bienveillance envers nos frères.

     


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  •  

    Nous te louons, toi le Verbe de Dieu, la Lumière du monde

     Les nations marcheront vers ta lumière

     La Parole de Dieu : Isaïe 60, 1-6 ; 15,18-22

     Debout, Jérusalem ! Resplendis : elle est venue, ta lumière, et la gloire du Seigneur s'est levée sur toi. Regarde : l'obscurité recouvre la terre, les ténèbres couvrent les peuples ; mais sur toi se lève le Seigneur, et sa gloire brille sur toi.  

     Dans le monde marqué par les ténèbres, la lumière d’Israël, la gloire de Jérusalem, c’est le Seigneur. Isaïe annonce que Le Seigneur rassemblera tous les peuples. Ils reconnaîtront le Seigneur comme leur Roi et leur Dieu.

     Isaïe rappelle maintenant au peuple la grandeur, la beauté de sa vocation.

    Les nations marcheront vers ta lumière, et les rois, vers la clarté de ton aurore

     Au mont Sinaï, Dieu a révélé à Moïse que le peuple est choisi entre tous pour être un royaume de prêtres et une nation sainte. Le peuple a accepté l’alliance, il a accepté d’être le témoin de la lumière de Dieu et de sa sainteté pour toutes les nations.

      Dans le livre du Prologue Jean révèle que la Parole, le Verbe, est la vraie Lumière qui, en venant dans le monde, illumine tous les hommes mais il affirme aussi l’existence du refus de la lumière. Il constate un refus de la Lumière par ceux qui sont dans les ténèbres.

      

    Isaïe décrit ensuite ce qui se passera, comment se réalisera la Promesse de Dieu

    Plus besoin de soleil pour éclairer tes jours, ni de clartés de lune sur tes nuits ; le Seigneur sera pour toi lumière perpétuelle, ton Dieu sera ta fierté.

    Tous dans ton peuple seront des justes ; ils posséderont le pays pour toujours, ils seront le rejeton que j’ai planté, l’ouvrage que mes mains ont créé pour ma gloire.

    Cette prophétie est splendide !

    Est-ce que ces promesses sont réalisées ?

    Si nous regardons notre monde, nous voyons encore bien des ténèbres autour de nous et en nous. Pourtant, le projet de Lumière de Dieu avance toujours, il grandit chaque jour davantage. Rien ne peut l’arrêter…

     Chaque année, nous progressons dans ce mystère de Lumière.

    Jésus, l’humble Enfant couché dans la crèche est ce roi de gloire. Toutes les nations sont invitées à accueillir sa lumière.

    Nous confions à l’Enfant Jésus tous ceux qui sont dans les ténèbres, nous prions pour que la lumière brille dans leurs cœurs, nous demandons la force d’être des témoins, des porteurs de lumière.

    Relisons notre propre histoire dans la lumière du projet de Dieu.

    Souvenons nous des moments, des événements de lumière que nous avons vécus dans notre vie…

    Regardons aussi les souffrances dues aux ténèbres qui demeurent encore en nous ou dans les événements et les personnes …

    Chercher qu’est-ce que nous pourrions faire pour que la Lumière de Jésus se répande autour de nous. Par quels regards, quels gestes, quelles paroles pouvons-nous apporter la vraie Lumière à nos proches ?

     


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  • Bonjour à tous

     

    prochain temps fort samedi 22 decembre 2012 de 9H 45 à 12H

     

    apporter votre carnet car nous aurons besoin des notes que vous avez écrit depuis le début d'année ( si toutefois ce travail n'a pas été fait servez-vous du blog pour le faire )

     

    à samedi


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  • Prière de Don Helder Camara:

     

    Je crois en Dieu qui est le Père de tous les hommes et qui leur a confié la terre.

    Je crois en Jésus-Christ qui est venu pour nous encourager et nous guérir,

    Pour nous délivrer et nous annoncer la paix de Dieu avec l’humanité.

    Je crois en l’Esprit de Dieu qui travaille en tout homme de bonne volonté.

    Je crois que l’homme vivra de la vie de Dieu pour toujours.

    Je ne crois pas aux droits du plus fort, au langage des armes,

    à la puissance des puissants.

    Je veux croire aux droits de l’homme, à la main ouverte,

    à la puissance des non-violents.

    Je ne crois pas à la race ou à la richesse, aux privilèges, à l’ordre établi.

    Je veux croire que le monde entier est ma maison.

    Je veux croire que le droit est un, ici et là, et que je ne suis pas libre,

    Tant qu’un seul homme est esclave.

    Je ne crois pas que la guerre et la faim soient inévitables, et la paix inaccessible.

    Je veux croire à l’action modeste, à l’amour aux mains nues et à la paix sur terre.

    Je ne crois pas que toute peine soit vaine.

    Je ne crois pas que le rêve de l’homme restera un rêve, et que la mort sera la fin.

    Mais j’ose croire, toujours et malgré tout, à l’homme nouveau.

    J’ose croire au rêve de Dieu même :

    Un ciel nouveau une terre nouvelle où la justice habitera. 

     


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