• Dieu créateur, tu es source de Vie

    11 septembre 2013

    Nous nous émerveillons de la grandeur de Dieu, de la Création qu'Il a faite par sa Parole. Nous désirons poursuivre cette œuvre en respectant la création dans notre vie de tous les jours.


    « Au commencement était le Verbe, 

    la Parole de Dieu, et le Verbe 

    était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu. Par lui, tout s'est fait, et rien de ce qui s'est fait ne s'est fait sans lui. » Jn 1, 1-3


    « Lorsque le Seigneur Dieu fit la 

    terre et le ciel » Gn 2, 4b 

    Nous nous émerveillons de la grandeur de Dieu, de la Création qu'Il a faite par sa Parole. Nous désirons poursuivre cette œuvre en respectant la création dans notre vie de tous les jours

    Nous rendons grâce pour la nature et la création

     


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  • Bonjour à tous

     

    bonne vacance

    mais n'oubliez  pas le temps fort du

    mardi 30 avril 2013 de 9H 30 à 16H 30 à la cure de Feillens

    apporter le pique nique

    de quoi écrire

    votre carnet

    à mardi 30 avril


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  • Apparition du Christ ressuscité à Marie Madeleine

    Cette icône illustre le moment où le Christ ressuscité rencontre Marie-Madeleine venue pleurer au tombeau.                          La pierre est roulée : le tombeau est ouvert, il laisse voir les linges mortuaires qui ont gardé la forme du corps, et le suaire, roulé à part : lorque l'âpôtre Jean les regarda, "il vit et il crut"

    Marie tourne le dos à la grotte, elle tourne le dos à la mort.

    Jésus appelle Marie Madeleine par son nom, comme il le fait pour chacune de ses brebis.

    Marie Madeleine est à genoux dans un geste d'adoration.   C'est lui qu'elle reconnaît à présent en s'écriant "Rabbouni" C'est bien Lui qui se révèle comme le crucifié. Sa plaie au côté, la marque des clous aux mains et aux pieds témoignent de la réalité de la passion.

    Au centre entre le Réssuscité et Marie, l'arbre de la vie évoque aussi l'arbre de la croix.

    Tenant le rouleau de la Bonne Nouvelle, le Christ envoie Marie-Madeleine, annoncer, la première, la nouvelle de la résurrection.

    17 Jésus reprend : « Cesse de me tenir, je ne suis pas encore monté vers le Père. Va plutôt trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »

    18 Marie Madeleine s'en va donc annoncer aux disciples : « J'ai vu le Seigneur, et voilà ce qu'il m'a dit. »


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  • Le Christ est ressuscité

    Il est vraiment ressuscité      

    Alléluia      

    La Résurrection -   Apparition à

    Marie Madeleine

     

    Nous recevons dans la foi les signes de ta résurrection. 

    La Parole de Dieu :

    Jn 20, 1-18

    01 Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin…. Elle voit que la pierre a été enlevée du tombeau. 02 Elle court donc trouver Simon-Pierre … 03 Pierre partit donc avec l'autre disciple pour se rendre au tombeau. Mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. 

    Leur façon de vivre la passion a été différente et maintenant leur attachement à Jésus en est touché… Pierre est lourd de ses remords, de la honte de sa trahison, sa course est moins rapide.

    Le disciple bien aimé (Jean), resté fidèle au pied de la croix, court plus vite, il est porté par son amour. 

     

    05 En se penchant, Jean  voit que le linceul est resté là ; cependant il n'entre pas.

    06 Simon Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau, et il regarde le linceul resté là, 07 et le linge qui avait recouvert la tête, non pas posé avec le linceul, mais roulé à part à sa place. 08 C'est alors qu'entra l'autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau.  Il vit, et il crut.

    Pierre, lui, regarde avec attention, le verbe employé par l’Evangéliste veut dire « contempler ». 

    Jean entre et voit. Ce n’est plus un regard extérieur, c’est encore un autre verbe qui, en grec, signifie « voir en comprenant ». Jean voit et comprend que le corps de Jésus n’a pas été volé ou enlevé sinon les linges auraient été déplacés. 

    Jean peut entrer dans un acte de foi, il croit. Jésus est ressuscité, son corps ressuscité n’est plus soumis aux lois de la vie terrestre.

     

    Marie Madeleine restait là dehors, à pleurer devant le tombeau. Elle se penche vers l'intérieur, toute en larmes.

    Marie Madeleine, elle, reste là, elle est inconsolable, elle ne comprend pas les signes du tombeau vide. 

    Et, à l'endroit où le corps de Jésus avait été déposé, elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l'un à la tête et l'autre aux pieds.

    Les deux anges se trouvent de chaque côté du tombeau, comme les anges au dessus de l’arche d’alliance. Désormais c’est en Jésus Ressuscité que le pardon est donné aux hommes. Il a offert son sang, sa vie, une fois pour toute.

    Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » 

    Elle leur répond : « On a enlevé mon Seigneur mon Maître, et je ne sais pas où on l'a mis ; »

    Marie Madeleine reste enfermée dans sa peine. Elle cherche toujours où trouver le corps de son maître qui est mort.

     

    Jésus lui demande : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » 

    Par ses questions Jésus prépare Marie Madeleine à le reconnaître. Pourquoi pleures-tu ? C’est la question des anges que reprend Jésus. Marie Madeleine doit sortir de la peine qui l’enferme en elle-même. Qui cherches-tu ? C’est la question que Jésus avait posé aux premiers disciples :« Qui cherchez-vous ? » Mais Marie Madeleine reste toujours enfermée dans sa peine elle le prend pour le gardien. Elle demande à Jésus lui-même où est son propre corps !

     

    Jésus reprend : « Cesse de me tenir, je ne suis pas encore monté vers le Père. Va plutôt trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »

    Jésus révèle à Marie Madeleine son retour au Père. Elle est maintenant chargée d’annoncer aux disciples cette Bonne Nouvelle. Jésus est auprès du Père. Jésus appelle ses disciples, ses frères. C’est la première fois qu’il les appelle ainsi. En Jésus Ressuscité les disciples deviennent ses frères. Ils deviennent véritablement fils de Dieu. Jésus les rétablit dans la communion avec Dieu le Père.

    En Jésus ils deviennent vraiment des frères et sœurs entre eux. Jésus les rétablit dans la communion fraternelle.

    Pierre et Jean se rendent au tombeau au matin de Pâque. Jean voit le tombeau vide et les linges restés à leur place, il croit que Jésus est vraiment ressuscité, Marie Madeleine cherche toujours le corps de Jésus. Jésus ressuscité l’appelle par son nom, il se montre à elle, il la conduit vers la foi en sa résurrection. Jésus l’envoie annoncer à ses frères qu’il monte vers son Père.

    Comme les disciples nous croyons en la résurrection du Seigneur à partir des signes qui nous sont donnés. Jésus nous invite à avoir un regard de foi qui ne s’arrête pas aux apparences mais qui s’appuie sur les paroles de Jésus et le témoignage des apôtres.

     

    Nous avons rencontré trois verbes :

    - Voir de l’extérieur : Notre regard peut rester extérieur comme celui de Marie Madeleine, nous avons entendu dire que Jésus est ressuscité mais ça ne change rien dans notre vie.

    - Regarder avec attention : Nous avons écouté la parole, nous avons essayé de comprendre, nous nous sommes posés des questions mais nous ne pouvons pas tout expliquer, il faut aller plus loin.

    - Voir et comprendre : Ce regard qui comprend conduit à voir dans la foi. 

     

    Comme Marie Madeleine, cet acte de foi en Jésus Ressuscité nous tourne vraiment vers lui, il nous fait entrer dans une rencontre avec lui.

    Jésus nous donne de vivre déjà de sa présence de Ressuscité, il fait de nous ses frères, il nous introduit dans la communion avec le Père et avec nos frères, par la foi nous vivons déjà de la vie éternelle.

     

    Comment pouvons-nous concrètement vivre de cette nouvelle vie ?

    En vivant en présence du Christ Ressuscité ?

    En l’annonçant à nos frères ?

    En témoignant par notre vie fraternelle ?

     

      


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  • "O MERE NE PLEURE PAS "

    Le titre de cette icône reprend les premiers mots d'une hymne du Samedi Saint. Cette icône représente une vision interieure de la mère de Dieu contemùplant son Fils et, simultanément elle constitue une vision mystique et liturgique de l'Eglise contemplant la Mère de Dieu et son Fils, au jour du Samedi Saint.

    La croix est derrière jésus, assez massive, elle a la couleur du sang de la grappe car sur elle le Christ a offert sa vie pour le salut du monde. Comme un roi endormi, Jésus a les yeux fermés du sommeil de la mort. Sa tête est inclinée, ses mains sont croisées, comme liées. Pour nous délier nos péchés, il a souffert sa passion : ses plaies témoignent de son amour qui l'a poussé à l'extrême.

    Marie est à la droite de son Fils, debout ferme dans la douleur, comme elle le fut au pied de la Croix. Elle devient la Mère de tous les hommes, mère de compassion auprès des affligés et de ceux qui pleurent.

    La mère de Dieu entoure avec tendresse son Fils mort. En ce jour de sabbat elle se tient en esprit auprès du tombeau où le Christ se repose de ses oeuvres. L'interieur du tombeau est noir. Son Fils traverse la mort. Dans le silence elle garde et se remémore l'Ecriture et les paroles de Jésus. Elle attend en silence avec foi le salut du Seigneur.

    Pâques est anticipé par la foi de la vierge en la résurrection de son Fils. La teinte chaude de son corps manifeste que c'est celui d'un vivant. La couleur de son pagne lumineux est celle de son vêtement de ressuscité. Le tombeau est vide, il est vert, car de lui a jailli Celui qui est la Vie et qui a vidé les tombeaux.


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